02 novembre 2005

Rencontres à Elizabethtown

Date de sortie : 02 Novembre 2005
Réalisé par Cameron Crowe
Avec Orlando Bloom, Kirsten Dunst, Susan Sarandon
Film américain. Genre : Comédie, Romance
Durée : 2h. Année de production : 2005
Titre original : Elizabethtown

Pas grand chose à dire, ma foi, sur ce film gentillet avec des acteurs sympathiques. Résumons : Première partie : la tentative de suicide. Au début, Drew Baylor (Orlando Bloom) se retrouve du jour au lendemain, non plus le jeune ingénieur prodige de la chaussure, mais le responsable du plus retentissant fiasco qui va ébranler sa vie, au point de tenter le suicide... Sur ce, son papa meurt. Raison de plus pour tout laisser filer ? Eh ben non, notre Drew, en seul homme de la famille, décide de remettre le suicide à dans une semaine, le temps d'enterrer son papa, de s'occuper des détails de la cérémonie, et au passage de soutenir sa maman (avant de lui donner le coup de grâce en se suicidant ?!).

Mais voilà. Son père, il ne le connaît pas vraiment... c'est que les parents sont séparés et le père est mort dans sa ville natale (Ploucville), où lui comme sa mère n'a jamais eu droit de cité. Deuxième partie : La découverte de Ploucville. C'est sans doute la meilleure partie du film...

Troisième partie : la love story guimauve. Heureusement, dans l'avion qui menait à Ploucville, Drew a croisé une fille très sympa (Kirsten Dunst) qui vient elle aussi de Trouducville (une ville voisine de Ploucville), et elle lui a laissé son n°... s'en suit une belle publicité pour les téléphones portables ! Ce que ça peut vous rapprocher ces petits gadgets... bref, elle sait l'écouter et il va s'amouracher d'elle. C'est beau.

Quatrième et dernière partie : le road movie. Conclusion de Kirsten : Drew doit se recontruire. Et pour ça, rien de mieux que de prendre la route (cérémonie initiatique américaine pour devenir un homme ?)... et le voilà parti avec l'urne de papa sur le siège conducteur.

En résumé, un film pas franchement bien construit, sympathique sans plus, un peu contemplatif voir plaplan, mais où, pour la première fois, j'ai vu des sentiments sur le visage d'Orlando Bloom... grâce à un personnage beaucoup moins lisse que ses rôles précédents (et quelques cours de comédie ?).

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