tag:blogger.com,1999:blog-42553824914655538752024-03-13T13:48:55.476+00:00Chez bibiF.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.comBlogger37125tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-72628237842845001912006-04-19T14:21:00.001+00:002009-11-06T18:08:38.111+00:00OSS 117 - Le Caire, nid d'espion<img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/oss117.jpg" alt="" class="GcheTexte" /><span style="font-weight: bold;">Date de sortie : </span>19 Avril 2006<br />Réalisé par <span style="font-weight: bold;">Michel Hazanavicius</span><br /><span style="font-weight: bold;">Avec </span>Jean Dujardin, Bérénice Bejo, Aure Atika<br />Film français. Genre : Comédie, Espionnage, Action<br />Durée : 1h 39min. Année de production : 2005<br /><br />Ok, j'avoue que je me foule pas trop, et merci allociné : "Égypte, 1955, le Caire est un véritable nid d'espions. Tout le monde se méfie de tout le monde, tout le monde complote contre tout le monde : Anglais, Français, Soviétiques, la famille du Roi déchu Farouk qui veut retrouver son trône, les Aigles de Kheops, secte religieuse qui veut prendre le pouvoir. Le Président de la République Française, Monsieur René Coty, envoie son arme maîtresse mettre de l'ordre dans cette pétaudière au bord du chaos : Hubert Bonisseur de la Bath, dit OSS 117."<br /><br />Bon, et alors ? Alors... il faut aimer sacrément l'humour décallé et le 2e degré pour aller voir ce "Brice Bond" à la française, sauce "Grand blond à la chaussure noire", peut-être même pire encore ! Jean Dujardin joue ici un crétin fini, capable de sortir une connerie à la seconde, mais arrogant, viril et beau gosse (tant qu'il ferme sa gueule et qu'il ne sourit pas comme un niais) : bref, l'espion qui met les pieds dans le plat. Et il je joue bien ! Je me demande juste si ce personnage était sensé être aussi stupide dans les livres écrits par Jean Bruce. En tout cas le sens de l'auto-dérision et l'auto-critique (sur la période colonialiste) est bel et bien là.<br /><br />Donc, il faut aimer l'humour un peu 'niais'... et personnellement dans le cas présent j'ai adoré. Voir OSS 117 allumer / éteindre / allumer la lumière de l'élevage de volaille qui lui sert de couverture pour faire piailler / se taire / piailler les volatiles est l'exemple du type de gags que vous trouverez dans ce film. Pendant tout le film.<br />Et faut bien le dire... que du bonheur !!!F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-51150945984511636872006-04-05T14:07:00.002+00:002006-11-12T15:48:34.635+00:00Enfermés dehors<img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/enfermes-dehors.jpg" alt="" class="GcheTexte" /><span style="font-weight: bold;">Date de sortie : </span>05 Avril 2006<br />Réalisé par<span style="font-weight: bold;"> Albert Dupontel</span><br /><span style="font-weight: bold;">Avec</span> Albert Dupontel, Claude Perron, Nicolas Marie<br />Film français. Genre : Comédie<br />Durée : 1h 28min. Année de production : 2005<br /><br />Rhâââh ! Qu'il est bon ce film !!! Et pourtant, je n'ai pas toujours été très fan de Dupontel. Par exemple, dans <span style="font-style: italic; font-weight: bold;">Bernie</span>, je n'ai retenu que deux passages : celui où il bouffe la tête du canarie (en représailles ? me souviens plus) et déclare "ce qui est chiant dans le canari - *recrache un truc* - c'est le bec !" et celui où il lime sa pelle sur un rail de 4 voies dans sa voiture...<br /><br />Bref. <span style="font-style: italic; font-weight: bold;">Enfermés dehors</span> est donc un délire magistral, à recommander ! Pour plein de raisons. D'abord, parce que un film sur les SDF qui arrive à faire rire, déjà, respect. Tout en dépeignant la situation sans faux semblants, s'entend ! Ensuite, parce que si le personnage principal joué par Dupontel sniffe de la colle, hey bien le spectateur aussi... et les effets de l'hallucinogène sur le film sont carrément excellents, que ce soit visuellement ou dans le scénario ! Les idées qui germent dans l'esprit défoncé du type sont extraordinaire de bon sens... pour lui ;)<br /><br />Mais au fait, de quoi ça parle ? De ça : un SDF trouve l'uniforme d'un flic. Alors qu'il va le rapporter au commisariat le plus proche, il se fait foutre dehors "poliment" comme le dernier des malpropres (heuh, qu'il est). Enfermé dehors, il lorgne la cafét' des flics, et c'est là que lui vient l'idée de génie : revêtir la tenue et aller manger à l'oeil... première des péripéties les plus rocambolesques de ce flic complètement trash et décallé.<br /><br />Une merveillle !F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-9423491541404131672006-04-05T14:07:00.001+00:002006-11-12T15:48:18.153+00:00L'âge de glace 2<img class="GcheTexte" alt="" src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/agedeglace2.jpg" /><span style="font-weight: bold;"> Date de sortie :</span> 05 Avril 2006<br />Réalisé par <span style="font-weight: bold;">Carlos Saldanha</span><br /><span style="font-weight: bold;">Avec </span>Gérard Lanvin, Elie Semoun, Vincent Cassel<br />Film américain. Genre : Animation<br />Durée : 1h 26min. Année de production : 2005<br />Titre original : <span style="font-style: italic;">Ice Age 2 : The Meltdown</span><br /><br />Revoilà le mamouth, le tigre et le paresseux dans un monde en pleine décomposition... et surtout, surtout ! revoilà Scrat, le petit rongeur obsédé par le ramassage des glands (tiens, d'ailleurs, j'ai pas vu de chêne dans ce film...) Parce qu'il faut bien avouer que déjà dans le permier opus, il n'y avait que lui qui faisait le spectacle et justifiait de regarder l'ensemble (si, si). Eh bien, vous ne serez pas dépaysé, dans ce n° 2 c'est pareil ! Enfin, en fait, c'est pire.<br /><br />Parce que autant le premier scénario (qui tenait la route) était un peu léger en terme de gags comparés à ceux de Scrat, ce qui faisait sentir comme un léger déséquilibre dans la cohésion de l'ensemble, autant le scénario n° 2 est vraiment naze (il se résume à une marche forcée pour sortir d'un cirque de glace en train de fondre, le mamouth est en voie d'extinction, ah non, y'a encore une femelle, du coup et hop une histoire d'amour à 2 euros 6 centimes entre les deux, et maintenant voilà une pseudo arche de Noé qui va sauver tout le monde de l'innondation... waaaa ça tient sur une coquille de noix ! Pardon, sur un gland). Le décalage est d'autant plus fragrant que les péripéties de Scrat sont encore plus... délirantes (Tex Avery n'aurait pas renié ce petit écureuil !). Heureusement, les deux opposums apportent un peu d'oxygène à ce film stéréotypé...<br /><br />Bref, assez désolant... on peut faire un montage avec que du Scrat s'il vous plaît ? Merci.F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-71452123194593825792006-04-05T14:07:00.000+00:002006-11-12T15:48:03.190+00:00Jean-Philippe<img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/jeanphilippe.jpg" alt="" class="GcheTexte" /><span style="font-weight: bold;">Date de sortie :</span> 05 Avril 2006<br />Réalisé par <span style="font-weight: bold;">Laurent Tuel</span><br /><span style="font-weight: bold;">Avec </span>Fabrice Luchini, Johnny Hallyday, Jackie Berroyer<br />Film français. <span style="font-weight: bold;">Genre : </span>Comédie<br />Durée : 1h 30min. Année de production : 2005<br /><br />Une fois n'est pas coutume, le résumé d'allociné colle parfaitement à ce que j'aurais dire de l'histoire : "Fabrice, cadre moyen, est un fan absolu de Johnny Hallyday, peut-être même le plus grand... Mais un jour, il se réveille dans une réalité différente, un monde parallèle où Johnny n'existe pas.<br />Perdu, orphelin, il se met alors à la recherche de Jean-Philippe Smet, pour savoir ce qu'il est devenu dans cette autre dimension, et lorsqu'il le retrouve enfin, c'est pour découvrir un patron de bowling, un type comme les autres qui n'est jamais devenu une star. Fabrice n'a plus qu'un seul but : ressusciter son idole, réveiller le "Johnny" qui sommeille en Jean-Philippe. Mais Jean-Philippe peut-il devenir en quelques mois ce que Johnny Hallyday a mis des années à construire ? Les deux compères ont 40 ans de "Johnny" à rattraper ! (...)"<br /><br />Maintenant passons au plus intéressant : mais que vaut ce film ? Eh, bien moi je répondrais, "son pesant d'or" !!! Non pas que je sois fan de Johnny - j'en ai la culture française de base, avec les hits incontournables et les infos <span style="font-style: italic;">people</span> - et peut-être même : justement ! Car ce film ne s'adresse pas exclusivement aux fans... les morceaux choisis dans le film vous sont nécessairement connus, et si Fabrice Luchini est incollable sur la carrière de Johnny, vous n'avez pas besoin de l'être pour apprécier ce film.<br /><br />Croisez quelqu'un dans la rue, demandez-lui s'il connaît Johnny Hallyday... ce serait impensable qu'il vous réponde par la négative. Et c'est pourtant bien le cas dans cette réalité parallèle où Fabrice atterrit dans ce film ! Un pan entier de la culture française qui s'effondre (et je ne plaisante pas)... ça vous ferait tout bizarre, non ? Alors ce film est bien construit et touchant, parfois très drôle avec des clins d'oeil jubilatoires, les acteurs sont fidèles à eux-mêmes (puisqu'ils se jouent eux-mêmes... dans une certaine mesure !), même Luchini n'est pas "<span style="font-style: italic;">saoulant</span>" puisqu'il joue le péquin lambda !<br /><br />A voir !F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-82471421885219113542006-03-29T15:19:00.000+00:002006-11-12T15:38:19.829+00:00La doublure<img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/la-doublure.jpg" alt="" class="GcheTexte" /><span style="font-weight: bold;">Date de sortie : </span>29 Mars 2006<br />Réalisé par <span style="font-weight: bold;">Francis Veber</span><br /><span style="font-weight: bold;">Avec</span> Gad Elmaleh, Daniel Auteuil, Alice Taglioni<br />Film français. Genre : Comédie<br />Durée : 1h 25min. Année de production : 2005<br /><br />Voilà un film dans la plus belle tradition de la comédie française ! Quiproquos en veux-tu en voilà, nombre de petites situations fort sympathiques... assurément vous aurez le sourire à voir ce film assez court mais très bien ficelé, et bien servi par une pléiade de comédiens hors-pairs.<br /><br />Pour l'histoire, vite fait, lisons un peu ce que raocnte allocine.fr : "Surpris par un paparazzi avec Eléna, sa maîtresse, un top model superbe, le milliardaire Pierre Levasseur tente d'éviter un divorce sanglant en inventant un mensonge invraisemblable. Il profite de la présence sur la photo, d'un passant, François Pignon, pour affirmer à sa femme qu'Eléna n'est pas avec lui, mais avec Pignon. (...)" Et de la belle Eléna de devoir s'installer chez le petit monsieur Pignon...<br /><br />Un film charmant, attachant, à voir pour passer un bon moment.F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-46449723636133838382006-03-22T14:59:00.000+00:002006-11-12T15:49:27.093+00:00La planète blanche<img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/laplaneteblanche.jpg" alt="" class="GcheTexte" /><span style="font-weight: bold;">Date de sortie</span> : 22 Mars 2006<br />Réalisé par <span style="font-weight: bold;">Thierry Piantanida, Thierry Ragobert</span><br /><span style="font-weight: bold;">Avec </span>Jean-Louis Etienne<br />Film canadien, français. <span style="font-weight: bold;">Genre : </span>Documentaire<br /><span style="font-weight: bold;">Durée : </span>1h 26min. Année de production : 2004<br /><br />La planète blanche est un film qui surfe sur la vague du documentaire animalier français... si vous voyez ce que je veux dire :). Et pour ce qui est d'en prendre plein la vue des espaces blancs balayés par les vents glaciaux, vous en aurez pour votre argent ! La photo est formidable, et la musique de Bruno Coulais (qui avait déjà signé avec grand succès celle de Microcosmos) est enchanteresse...<br /><br />Au-delà des belles images quasiment exemptes de scénario (et c'est peut-être pas plus mal...) si ce n'est de l'alternance des saisons, c'est le message d'alerte que nous retiendrons... ce film est un témoignage d'un environnement et d'animaux exceptionnels mis en danger par l'homme. Une mémoire pour l'humanité... pour qu'elle contemple la conséquence de ses actes.<br /><br />Cependant j'ajouterais que la naration est quasiment exempte de drames... et pourtant dans cet environnement désolé, les prédateurs doivent s'en donner à coeur joie ! Seules deux scènes de chasse (dont l'une par un ours blanc sur un jeune phoque) sont montrées. Bref, un film un peu "mièvre" à mon goût... contemplatif, dirons-nous.F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-60766698186112511092006-03-15T14:59:00.000+00:002006-11-12T15:49:11.624+00:00Renaissance<div class="contenuArticle"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/renaissance.jpg" alt="" class="GcheTexte" /><span style="font-weight: bold;">Date de sortie :</span> 15 Mars 2006<br />Réalisé par <span style="font-weight: bold;">Christian Volckman</span><br /><span style="font-weight: bold;">Avec </span>Robert Dauney, Crystal Shepherd-Cross, Isabelle Van Waes<br />Film français. <span style="font-weight: bold;">Genre : </span>Animation<br /><span style="font-weight: bold;">Durée : </span>1h 35min. Année de production : 2006<br /><br />"Renaissance" a pour lui d'être français (cocorico), étonnant et inovant graphiquement (tout en noir et blanc, l'animation fait dans le jamais vu - on n'aime ou on n'aime pas, mais ça marque !), et... et c'est tout. Je n'ai pas vraiment été emballée par le scénario SF, qui bien que pas complètement niais a contre lui d'être un peu convenu... pour une lectrice de SF, évidemment. Rien de neuf, donc, reste à profiter des images !<br /><br />Pour l'histoire, vite fait : dans un Paris futuriste et magnifique de 2054, une jeune scientifique spécialisée dans la génétique et travaillant pour la société-pieuvre Avalon est kidnapée. Son travail révolutionaire est au coeur de toutes les convoitises... c'est ce que va découvrir le policier Karas, dont on suit l'enquête dans le film.<br /><br />Dans l'ensemble, un film "qui se laisse voir", ... plus à voir par curiosité pour son esthétisme.</div>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-77240732950383111822006-03-08T15:08:00.000+00:002006-11-12T15:47:39.810+00:00Underworld 2 - evolution<p style="padding: 3px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/underworld.jpg" alt="" /></p> <p><span style="font-weight: bold;">Date de sortie : </span>08 Mars 2006<br />Réalisé par<span style="font-weight: bold;"> Len Wiseman</span><br /><span style="font-weight: bold;">Avec </span>Kate Beckinsale, Scott Speedman, Tony Curran<br />Film américain. Genre : Fantastique, Action<br />Durée : 1h 46min.<br />Année de production : 2004<br />Titre original : <span style="font-style: italic;">Underworld : evolution<br /></span></p> <p>Vous aviez vu le premier opus, vous aviez aimé l'esthétisme de série B à budget matrixiel, la présentation de l'éternelle rivalité vampires / lycans, et vous étiez ravis de voir le n° 2 sortir sur nos écrans... moi aussi. Mais l'opus n°2 m'a fait ni chaud ni froid, et pour cause : c'est un n° 2 on ne peut plus dans la lignée d'un n°2, pas trop raté, mais pas trop réussi non plus !</p> <p>Pour : l'action dès le début, pas de temps morts, des combats forts sympathiques, une photo toujours aussi sympathique et sombre pour les amateurs du genre...<br /></p> <p>Contre : l'histoire d'amour nunuche qui se développe (qu'on avait fort heureusement évité au 1er épisode), la scène d'amûuuur trop lisse (600 ans d'expérience et elle se le baise même pas à la sauvage ?!?) , la scène de combat final bien trop brève (le "boss de fin" est un rigolo ou quoi ???), et puis finalement, *baillement*, c'est un peu long... même si le film ne dure que 1h46.</p> Mi-figue, mi-raisin, je saute mon tour et retrouve le DVD du premier épisode !F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-44562880936035391082006-02-15T14:58:00.000+00:002006-11-12T15:49:41.583+00:00Bubba Ho-Tep<p style="padding: 2px; float: left;"><img alt="" src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/bubba-ho-tep.jpg" /></p> <p><strong>Date de sortie :</strong> 15 Février 2006<br />Réalisé par <strong>Don Coscarelli</strong><br />Avec Bruce Campbell, Ossie Davis, Ella Joyce<br />Film américain. Genre : Comédie, Fantastique<br />Durée : 1h 32min. Année de production : 2003</p> <p>Bubba Ho-Tep est un film complètement décallé : il associe le genre "film d'horreur humoristique avec petits budgets et donc petits effets spéciaux type série B" et "réflexion sur le thème de la vieillesse et la mort". Vous l'avez compris, ce film n'est pas ordinaire... </p> <p>Reprennons. Le véritable Elvis Prestley n'est pas mort... ou en tout cas, Sebastian Haff prétend que non puisque c'est lui !!! Cependant, les beaux jours ne sont plus : vieillard, amorphe, apathique, il passe ses journées couché sur son lit dans un asile de vieux / fous du fin fond de l'amérique profonde... La mort y est coutumière, vu l'état des pensionnaires. Cependant, certaines morts semblent étranges, et Elvis mène l'enquête. Avec un autre pensionnaire - un vieux Black qui se prend pour Kennedy ! - ils vont démasquer le tueur : rien de moins qu'une momie sous le joug d'une malédiction ! A eux deux, ils décident de sauver l'asile du monstre hideux... </p> <p>Moralité : j'ai beaucoup apprécié ce décallage, et même si mine de rien, le discours n'est pas facile (la décrépitude n'est pas franchement aisé à aborder, alors dans un pseudo-film d'horreur, pensez-vous...) mais traité de la plus belle des façons, tout en conservant de grands moments d'humour !<br />Un bon moment de "ciné-B". </p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-27791774348369599742005-12-21T15:19:00.000+00:002006-11-12T15:38:39.467+00:00La vérité nue<img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/la-verite-nue.jpg" alt="" class="GcheTexte" /><span style="font-weight: bold;">Date de sortie : </span>21 Décembre 2005<br />Réalisé par <span style="font-weight: bold;">Atom Egoyan</span><br /><span style="font-weight: bold;">Avec </span>Kevin Bacon, Colin Firth, Alison Lohman<br />Film américain. Genre : Thriller, Drame<br />Durée : 1h 47min.<br />Année de production : 2004<br />Titre original : <span style="font-style: italic;">Where the truth lies</span><br />Fin des années 60 : au sommet de leur carrière, un duo décapant de comiques anime le téléthon dans un show incroyable de plus de 35 heures... mais à la fin de l'émission, une jeune femme est retrouvée morte dans leur suite. Le scandale met fin à leur collaboration... 15 ans après, une jeune journaliste prometteuse tente de percer à jour le mystère.<br /><br />Voilà un polard enlevé, frais, avec de l'humour et du noir, mais aussi des couleurs très seventies, dans lequel vous pouvez plonger et vous laisser guider par le réalisateur, qui a très bien mené sa barque !... jusqu'à la fin, un peu facile, mais on ne lui en voudra pas. Fort sympathique.F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-40518473603556647452005-12-21T14:57:00.000+00:002006-11-12T15:49:56.720+00:00Le monde de Narnia<p style="padding: 2px; float: left;"><img alt="" src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/le-monde-de-narnia.jpg" /></p> <p><strong>Date de sortie :</strong> 21 Décembre 2005<br />Réalisé par <strong>Andrew Adamson<br /></strong>Avec Georgie Henley, Skandar Keynes, Anna Popplewell<br />Film américain. Genre : Fantastique, Aventure<br />Durée : 2h 20min. Année de production : 2004<br />Titre original : <em>The Chronicles of Narnia : The Lion, the Witch and the Wardrobe</em></p> <p>On va faire vite fait bien fait : images de synthèse des animaux particulièrement réussies, mais film pour enfants de moins de 8 ans. Pourrait aussi être renommé "Le monde de Gnanrgnan" pour les personnes qui ne font pas partie de la classe d'âge cible. *Baillement*...</p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-78280883300977772162005-12-14T15:18:00.000+00:002006-11-12T15:39:27.585+00:00Gentille<p style="padding: 2px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/gentille.jpg" alt="" /></p> <p><strong>Date de sortie :</strong> 14 Décembre 2005<br />Réalisé par <strong>Sophie Fillières</strong><br /><strong>Avec</strong> Emmanuelle Devos, Lambert Wilson, Bruno Todeschini<br />Film français. <strong>Genre :</strong> Comédie<br /><strong>Durée :</strong> 1h 42min.<br />Année de production : 2004</p> <p>Argh, un film... gentil ? Non : doucement décallé. Comme les personnages mis en scène. Allez, je me foule pas : pour le résumé, AlloCiné va faire ça mieux que moi ! "Fontaine Leglou, la trentaine, a tout. Un travail - anesthésiste -, un amour infidèle qu'elle ne quitterait jamais pour son amant, un amant - fidèle lui -, pour qui Fontaine ne quitterait jamais son amour infidèle, un chat, et pourtant... Fontaine a froid aux yeux. Et quand son amour la demande en mariage, elle ne sait ni dire oui, ni dire non. Rien ne va plus..."</p> <p>Mouais. Dis comme ça, c'est pas révolutionnant, surtout que finalement, c'est pas vraiment ça qui compte... pour moi, ce qui a compté, c'est un regard nu, presque cru, sans jugement, mais qui montre tous les petits décallage de mademoiselle Fontaine par rapport à une société stéréotypée... codifiée... en général : la nôtre. Rien de sensationnel : Fontaine a beau être un peu "gentille", c'est pas criant et ça ne se lit pas forcément sur son visage (quoique... un grand bravo à Emmanuelle Devos). Il y a juste... qu'elle est un brin "ailleurs", qu'elle a du mal à se fixer... Un film qui assurément peu mettre mal à l'aise, tout en nous faisant rire de ces petits travers de la vie.<br /></p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-46010244047334441062005-11-30T15:19:00.000+00:002006-11-12T15:39:12.376+00:00Harry Potter et la coupe de feu<img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/hp4.jpg" alt="" class="GcheTexte" /> <span style="font-weight: bold;">Date de sortie : </span>30 Novembre 2005<br />Réalisé par <span style="font-weight: bold;">Mike Newell</span><br /><span style="font-weight: bold;">Avec </span>Daniel Radcliffe, Emma Watson, Rupert Grint<br />Film américain. Genre : Fantastique<br />Durée : 2h 35min.<br />Année de production : 2005<br />Titre original : <span style="font-style: italic;">Harry Potter and the Goblet of Fire</span><br />Un 4e opus d'un bon niveau général : effets spéciaux sympathiques (mais parfois un peu bâclés), du rythme, un peu d'humour, et un univers qui se noircit avec l'arrivée du grand méchant Voldie... dans l'ensemble, une belle adaptation qu'apprécieront les <span style="font-style: italic;">newbies</span> qui n'ont pas lu le(s) livre(s), mais un peu décevante pour les lecteurs assidus qui ne retrouveront pas les intrigues secondaires de ce 4e tome... peut-être celles-ci seront-elles adaptées pour le tome 5, beaucoup plus lent et moins spectaculaire ? En tout cas, un bon divertissement, même si la palme des adaptations revient toujours au 3e opus.F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-44119684279284171382005-11-23T14:56:00.000+00:002006-11-12T15:39:44.521+00:00Palais Royal !<p style="padding: 2px; float: left;"><img alt="" src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/palais-royal.jpg" /></p> <p><br /><strong>Date de sortie : </strong>23 Novembre 2005<br />Réalisé par <strong>Valérie Lemercier</strong><br /><strong>Avec</strong> Valérie Lemercier, Lambert Wilson, Catherine Deneuve<br />Film français. <strong>Genre :</strong> Comédie<br /><strong>Durée :</strong> 1h 40min. Année de production : 2004</p> <p>Alors, ça fait rire ?... Eh bien, disons : <strong>assez</strong>. C'est pas à tomber, mais c'est assez bien vu, cette famille royale inspirée d'un charmant mélange des actualités des familles britaniques et monégasques... dans cet univers pourri (faut bien l'admettre), le personnage de Valérie Lemercier - une ortophoniste assez banale - va se débattre, puis finalement l'utiliser à son avantage... jusqu'à en perdre ses valeurs. Y-a-t-il un message moralisateur dans tout ça ? Bah, vous poserez la question à Valérie Lemercier, moi j'ai pris son film au 1er degré, et certains points m'ont bien fait rire. </p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-18263495808016145992005-11-09T14:56:00.000+00:002006-11-12T15:40:00.018+00:00Joyeux noël<p style="padding: 2px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/joyeux-noel.jpg" alt="" /> </p> <p><strong>Date de sortie : </strong>09 Novembre 2005<br />Réalisé par <strong>Christian Carion</strong><br /><strong>Avec</strong> Diane Kruger, Benno Fürmann, Guillaume Canet<br />Film belge, roumain, français, allemand, britannique.<br /><strong>Genre :</strong> Drame, Guerre, Historique<br /><strong>Durée :</strong> 1h 55min. Année de production : 2004</p> <p>Voilà un film qui sort du commun... le contexte est historique, le scénario est un assemblage d'histoires vraies romancées, et le résultat est un film sensible loin d'être miévreux ! </p> <p>Décembre 1914 : dans la guerre absurde des tranchées, des hommes meurent au combat dans une logique qui semble complètement absurde aujourd'hui... une vraie boucherie, commandée depuis les lignes arrières, et nourrie par une haine profonde entre les nations en guerre. Dans le contexte actuel d'une Europe unifiée, les textes d'époque récités au début du film par des enfants nous rappellent : que de chemin parcouru entre nos pays !</p> <p>Et pourtant, en cette veille de noël, les hommes dans les tranchées doutent que la moindre trève soit respectée. C'est alors que se passe l'inimaginable : une tentative de dialogue, le courage de ne pas agir en tant que soldat mais en tant qu'homme, et au final la fraternisation des alliés (Français et Ecossais) avec l'ennemi (les Allemands).</p> <p>Tout ça sans tomber dans la facilité, et en nous rappelant l'écrasante réalité : la reprise de la guerre, qui s'impose naturellemnt... le système et la logique du conflit qui reprennent leurs droits, et broient sur leur passage les quelques hommes qui ont fait preuve d'humanité. </p> <p>Un très beau film.</p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-2048256332731415832005-11-07T15:53:00.000+00:002006-11-12T15:54:54.079+00:00Le café Marly : mais quelle mouche m'a piqué ?!<p style="margin: 2px; float: left;"><img style="margin: 2px;" src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/bout-de-toile/-paris-marly.gif" alt="" /><br /><img style="margin: 2px;" src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/bout-de-toile/-paris-marly-couleurs.gif" alt="" /></p> <p>... eh oui, quelle mouche m'a piqué d'aller consommer un lait chaud vanillé au Café Marly ?!... Il faut dire que j'avais des circonstantes atténuantes : près d'une heure et demie passée à vadrouiller dans le Louvre (qui est loin d'être mon musée préféré, excepté pour ce qui est de l'Egypte Ancienne)... ça fatigue ! Et là, ce café un peu sélect', sous les galleries de l'aile Richelieu, avec vue sur la pyramide et face aux derniers rayons du froid soleil d'hiver... eh bien il nous tendait les bras. </p> <p>Certes, la moindre consommation est à 6 euros (mais j'ai vu pire... à ma décharge, je sais aussi fuir devant les tarifs, comme dans ce somptueux café vénitien où j'ai tout simplement pris mes jambes à mon cou après avoir ouvert la carte...). Mais, diantre, et l'emplacement !? </p> <p>Première déception, si vous ne voulez pas avoir les fessiers démolis (déjà mis à mal par le piétinement impératif de toute visite au Louvre... presque aussi usant que de faire ses courses à Carrefour un samedi après-midi...), préférez la banquette : les fauteuils semblent accueillants, mais vous sentirez à peine le coussin placé entre le tissu et le bois de la chaise... autant dire que le confort est inexistant. </p> <p>Seconde déception, mais je m'y attendais, la population du café. "Oh très cher, vous ne portez pas un de ces délicats pantallons blancs qui ont fait votre réputation ?" Et l'autre de répondre (devant sa femme qui glousse) "Non, face à la pression de ma chère et tendre, j'ai opté à contre-coeur pour un bleu marine moins salissant... " Wow, quelle vie passionnante. </p> <p>Et enfin, enfin... troisième et dernière déception, celle qui restera comme définitive et rédhibitoire : les mouches. Par cette saison ? Oui. Et où ça ? Eh bien, directement dans mon lait chaud vanillé. Au début, je me suis dit, "tiens, des bouts de gousse de vanille... bien, bien, c'est du vrai !" et en fait, malheur, blasphème, désastre, honte à eux, malédiction sur les 7 prochaines générations ! C'étaient des mouches. Dans mon lait. J'y ai pensé toute la soirée, impossible de retirer cette sensation qui s'appelle "une mouche dans ma bouche ?!?"... bref, plutôt que d'aller voir un psy, autant mettre cette histoire en ligne. La blog-thérapie, en quelque sorte... </p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-22943099033603042802005-11-02T14:55:00.000+00:002006-11-12T15:40:16.970+00:00Rencontres à Elizabethtown<p style="padding: 2px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/rencontre-eliz.jpg" alt="" /></p> <p>Date de sortie : <strong>02 Novembre 2005</strong><br /><strong>Réalisé par </strong>Cameron Crowe<br /><strong>Avec </strong>Orlando Bloom, Kirsten Dunst, Susan Sarandon<br />Film américain. Genre : Comédie, Romance<br />Durée : 2h. Année de production : 2005<br />Titre original :<em> Elizabethtown</em></p> <p>Pas grand chose à dire, ma foi, sur ce film gentillet avec des acteurs sympathiques. Résumons : <strong>Première partie : la tentative de suicide. </strong>Au début, Drew Baylor (Orlando Bloom) se retrouve du jour au lendemain, non plus le jeune ingénieur prodige de la chaussure, mais le responsable du plus retentissant fiasco qui va ébranler sa vie, au point de tenter le suicide... Sur ce, son papa meurt. Raison de plus pour tout laisser filer ? Eh ben non, notre Drew, en seul homme de la famille, décide de remettre le suicide à dans une semaine, le temps d'enterrer son papa, de s'occuper des détails de la cérémonie, et au passage de soutenir sa maman (avant de lui donner le coup de grâce en se suicidant ?!). </p> <p>Mais voilà. Son père, il ne le connaît pas vraiment... c'est que les parents sont séparés et le père est mort dans sa ville natale (Ploucville), où lui comme sa mère n'a jamais eu droit de cité. <strong>Deuxième partie : La découverte de Ploucville.</strong> C'est sans doute la meilleure partie du film... </p> <p><strong>Troisième partie : la love story guimauve. </strong>Heureusement, dans l'avion qui menait à Ploucville, Drew a croisé une fille très sympa (Kirsten Dunst) qui vient elle aussi de Trouducville (une ville voisine de Ploucville), et elle lui a laissé son n°... s'en suit une belle publicité pour les téléphones portables ! Ce que ça peut vous rapprocher ces petits gadgets... bref, elle sait l'écouter et il va s'amouracher d'elle. C'est beau.</p> <p><strong>Quatrième et dernière partie : le road movie. </strong>Conclusion de Kirsten : Drew doit se recontruire. Et pour ça, rien de mieux que de prendre la route (cérémonie initiatique américaine pour devenir un homme ?)... et le voilà parti avec l'urne de papa sur le siège conducteur. </p> <p>En résumé, un film pas franchement bien construit, sympathique sans plus, un peu contemplatif voir plaplan, mais où, pour la première fois, j'ai vu des sentiments sur le visage d'Orlando Bloom... grâce à un personnage beaucoup moins lisse que ses rôles précédents (et quelques cours de comédie ?).</p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-64526060295468703742005-10-26T13:55:00.000+00:002006-11-12T15:40:38.750+00:00Combien tu m'aimes ?<p style="padding: 2px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/aimes.jpg" alt="" height="160" width="120" /></p> <p><strong>Date de sortie : </strong>26 Octobre 2005<br />Réalisé par <strong>Bertrand Blier <br />Avec </strong>Monica Bellucci, Bernard Campan, Gérard Depardieu<br />Film français. Genre : Comédie dramatique<br />Durée : 1h 35min. Année de production : 2005</p> <p><strong>Le sujet est accrocheur :</strong> de l'argent, certainement du sexe, pourquoi pas de l'amour... La pléïade d'acteurs au rendez-vous donne d'ailleurs tout autant envie d'aller le voir, ce film de Blier (une fois n'est pas coutume, vérifiez, je ne suis pas une abonnée régulière du cinéma frânçais). Bien m'en a pris !</p> <p><strong>L'histoire est tellement simple</strong> qu'on aurait pu tous y penser : un mec - pas très mignon, pas très intéressant, avec un boulot banal qui rapporte pas des mille et des cent - <strong>gagne au loto</strong>, et décide de s'offrir une pute <em>à vie </em>- du moins, tant qu'il aura du fric. Et c'est ainsi que<strong> la pulpeuse Daniela accepte de devenir sa femme... </strong>avec biensûr toutes les complications qui peuvent découler d'une telle situation : la personnalité "pute" de sa femme, l'entrée en scène de son mac', la question des sentiments et les rapports à l'argent, ... </p> <p>Dans l'ensemble, on peut reconnaître une certaine réussite : <strong>les acteurs</strong> sont complètement dans leur rôle, <strong>les dialogues</strong> sont parfois touchants, parfois drôles, et l'on se laisse mener dans cette petite aventure <strong>sans trop s'ennuyer et sans trop se poser de questions</strong>. Seule la fin - que je ne vous révèlerais pas - est discutable : <strong>le film bascule</strong> doublement. A la fois dans <strong>un délire cinématographique</strong> - les acteurs s'adressent directement au spectateur et toute notion de réalisme de la scène s'échappe -, et dans une fin que certains trouveront <strong>amorale</strong> (même si moi j'ai adoré la pirouette, bien méritée et qui permet de jetter un autre regard sur les actions de notre adorable gagnant du loto !).</p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-51323122295487982422005-10-12T13:54:00.000+00:002006-11-12T15:41:13.569+00:00Wallace et Gromit le mystère du lapin-garou<p style="padding: 2px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/mystere-lapin-garou.jpg" alt="" height="160" width="120" /></p> <p><strong>Date de sortie : </strong>12 Octobre 2005<br />Réalisé par <strong>Nick Park, Steve Box<br />Avec </strong>Helena Bonham Carter, Peter Sallis, Ralph Fiennes<br />Film américain, britannique. Genre : <strong>Animation</strong><br />Durée : 1h 25min. Année de production : 2003<br />Titre original : <strong><em>Wallace & Gromit : the curse of the wereabbit</em></strong></p> <p>Wallace et Gromit sont de retour ! Si vous ne les connaissez pas déjà, foncez louer leurs précédentes aventures... ces deux petites créatures en pate à modeler vont vous faire craquer et hurler de rire. Et dans ce nouvel opus ? Pareil !...</p> <p>Dans leur petit patelin anglais, un problème préoccupant toute la population surgit : les lapins pullulent... or, dans quelques jours, se tient le concours annuel de légumes ! Chacun a fait poussé sa courge ou son aubergine géante, et ne tient pas à ce que le moindre lapin y croque... C'est là qu'interviennent Wallace et Gromit, et leur société <strong>anti-pesto</strong>, qui capture les bestioles. Juqsu'à ce que, plus effrayant que ses cousins, le lapin-garou ne vienne menacer tous les potagers de la ville... </p> <p>Encore une histoire complètement loufoque, des inventions tordues, des personnages hauts en couleur (et tellement bien vus...), des gags hilarants à l'anglaise, une animation hors pair, des animaux tout mimis... bref, encore un succès ! On apprécie particulièrement que Gromit reste un chien et ne fasse toujours pas un seul bruit, et que ce film ait plusieurs niveaux de lecture qui ne casse en rien le rythme de cette affaire rondement menée... Un premier film digne des cours qui l'ont précédé.</p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-83370118996877870202005-10-05T13:53:00.000+00:002006-11-12T15:41:50.884+00:00Les frères Grimm<p style="padding: 2px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/freres-grimms.jpg" alt="" /></p> <p><strong>Date de sortie : </strong>05 Octobre 2005<br />Réalisé par <strong>Terry Gilliam</strong><br /><strong>Avec </strong>Matt Damon, Heath Ledger, Monica Bellucci<br />Film britannique. Genre : <strong>Fantastique</strong>, Aventure<br />Durée : 1h 59min. Année de production : 2005<br /><strong>Titre original : </strong>Brothers Grimm</p> <p>La bande annonce était alléchante et... damned ! le résultat est mitigé. Pour faire vite, les frères Grimm est une fratrie improbable : un garçon charmant/chareur, et un érudit naïf qui aurait tendance à croire aux comptes de fées, malgré leur métier d'escroc. Car leur spécialité à ces deux-là, c'est la mise en scène des pires peurs des villageois... afin de se positionner ensuite en sauveurs. Jusqu'au jour où la magie fait réellement son entrée dans leur vie... </p> <p>Le scénar est sympathique quoique quelque peu <em>capilotracté</em>... d'autant plus que les personnages sont très manichéens, et que quand l'un d'eux change son fusil d'épaule et aide les deux compères (alors que jusqu'à présent c'était une belle raclure), franchement, c'est se foutre de notre gueule... D'ailleurs, les français et leur grande armée en prennent plein la tronche aussi ("a slice of Quiche would be nice", lance le général avant de mourrir... mais où va-t-on, là ?!?) histoire de faire de l'antimilitarisme de base, et le personnage de l'italien pervers est tellement lourd qu'on n'a pas envie de le tutoyer. Avait-on vraiment besoin de ça pour raconter cette histoire ?</p> <p>Au final, on s'est un peu ennuyé, et on regrette que cela ne se termine pas plus mal, histoire que pour une fois le scientifique à lunette puisse se taper l'héroïne (à moins qu'elle ne se fasse les deux ?). Divertissant, sans plus.</p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-71883797245850773992005-09-28T13:53:00.000+00:002006-11-12T15:42:08.289+00:00Alice<p style="padding: 2px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/alice.jpg" alt="" height="160" width="120" /></p> <p><strong>Date de sortie : </strong>28 Septembre 2005<br />Réalisé par <strong>Marco Martins<br />Avec </strong>Nuno Lopes, Beatriz Batarda, Miguel Guilherme<br />Film portugais. Genre : <strong>Drame</strong><br />Durée : 1h 42min. Année de production : 2005</p> <p>Vous avez déjà vu un film portugais ?!?... Eh bien moi je crois que non, jamais. Alors quand celui-ci est sorti, je me suis dit qu'il fallait essayer. <strong>Alice</strong> est une petite fille qui a disparu à la sortie de la maternelle... il y a déjà plusieurs mois. Mario, son papa, se lance dans une quête obsessionnelle qui lui occupe tout son temps et son esprit : retrouver sa fille. Pour cela, il pose des caméras de surveillance dans les lieux les plus passants de Lisbone, changeant les cassettes jour après jour, les visionnant nuit après nuit,... il scrute les images, les agrandit et les imprime en photo dès qu'une enfant semble correspondre à la physionomie d'Alice. </p> <p>Mario s'enfonce dans une quête à sens unique... d'ailleurs, pendant au moins 30 minutes, vous n'entendrez même pas la voix de l'acteur ! Le personnage pris dans une spirale, n'écoute pas les conseils de ses amis, en oublie quasiment la souffrance de sa femme,... dans un mouvement permanent qui n'a pour seul objectif de lui permettre de survivre à la disparition de sa fille. </p> <p>Ce film est magnifiquement interprété, et tourné avec beaucoup de sensibilité (même si les passages de caméra à l'épaule, et l'image volontairement dégradée vous donnent autant la nausée que la cause perdue du papa...). Reste que comme la réalisation est aussi difficile que le sujet, ce film n'est certainement pas facile d'accès. A éviter si vous voulez sourire en sortant du ciné.</p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-70930994424733754802005-09-16T13:53:00.000+00:002006-11-12T15:42:46.738+00:00The Rocky horror picture show<p style="padding: 2px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/rocky-horror.jpg" alt="" height="120" width="84" /></p> <p>Réalisé par <strong>Jim Sharman</strong><br />Avec Tim Curry, Susan Sarandon, Barry Botswick<br />Film américain. Genre :<strong> Comédie musicale</strong>, Comédie<br />Durée : 1h 40min.<br /><strong>Année de production : 1975</strong><br />Interdit aux moins de 12 ans</p> <p>Ce film est parraît-il un film culte. Si si ! C'est une comédie musicale, déjantée, dont le personnage principal est un travesti, avec des effets spéciaux d'époque, dans un décor kitschissime... mais c'est culte. </p> <p>D'abord, un bref résumé lu sur AlloCiné : "Leur voiture en panne, Janet et Brad se refugient sous une pluie battante dans une mysterieuse maison. Ses occupants se livrent a de bien etranges experiences..." </p> <p>Bon, vu comme ça, rien de bien follichon. Je dirais même : ne louez surtout pas ce film dans votre vidéothèque préférée !!!!... Non, montez plutôt à Paris un vendredi soir, et achetez une place au Studio Galande (rue Galande, 5e arr., métro St Michel). C'est la seule salle qui le diffuse... et surtout qui <em><strong>l'anime</strong></em>. C'est le concept du <strong>film interactif</strong> : prenez un navet (si si, n'insistez pas : même si la musique est parraît-il agréable - moi j'ai rien entendu... - c'est un navet), prenez une bande de pseudos comédiens bénévoles, ajoutez un public plutôt étudiant et complètement déjanté, et vous obtenez enfin le résultat : le culte !!! </p> <p>Avouons-le, c'est un spectacle dont on ne sort pas indemne physiquement : les marriages à l'écran donnent l'occasion de jeter du riz dans la salle... amenez-en un bon sac ! De même, la bouteille d'eau obligatoire pour la scène d'orage. Mieux vaut être donc équipé, et éviter d'y aller en hiver... Un truc : évitez aussi le 6e rang, préférez les 2 premiers si vous voulez avoir plus de chances de vous faire "violer" par les animateurs, et enfin réfugiez-vous près du mur pour éviter la pluie et le riz... </p> <p>Enfin, si tout ceci est assez raffraîchissant (dans tous les sens du terme), ce n'est pas un culte à la finesse. Les blagues se répètent et tournent toutes autour du même pot (du cul du cul du cul) et l'on comprend pourquoi les plus jeunes en sont friands. De plus, le "cast" n'était pas au complet ce soir-là et l'absence d'animateurs connaissant les répliques était j'imagine fortement pénalisant... vu que seuls 3 d'entre eux semblaient capables de mettre l'animation. Personellement, après un moment de surprise intéressée, je me suis lassée assez vite de la répétition et de la lourdeur de l'ensemble... mais bon. C'est certainement une expérience à essayer. </p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-49331963225677121042005-09-14T13:54:00.000+00:002006-11-12T15:41:31.814+00:00Collision<p style="padding: 2px; float: left;"><img alt="" src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/collision.jpg" /></p> <p><strong>Date de sortie :</strong> 14 Septembre 2005<br />Réalisé par <strong>Paul Haggis<br />Avec </strong>Sandra Bullock, Don Cheadle, Matt Dillon<br />Film américain. Genre : Drame<br />Durée : 1h 47min. Année de production : 2004<br />Interdit aux moins de 16 ans<br />Titre original : <em><strong>Crash</strong></em></p> <p>Allez, une fois n'est pas coutume, le synopsis de Allocine.com : "Deux voleurs de voitures. Un serrurier mexicain. Deux inspecteurs de police qui sont aussi amants. Une femme au foyer et son mari, district attorney. Tous vivent à Los Angeles. Eux et beaucoup d'autres ne se connaissent pas, leurs vies n'auraient jamais dû se croiser.<br />Pourtant, dans les prochaines 36 heures, leurs destins vont se rencontrer, révélant ce que chacun voulait cacher ou ne pas voir... "</p> <p>Autant le dire tout de suite, <strong>ce film est le meilleur que j'aie vu depuis bien longtemps...</strong> il arrive à générer en vous une foule de sensations d'une puissance incroyable, qui s'étend sur toute la palette, de la tristesse à la colère, voire la révolte... et comment ? en parlant essentiellement <strong>du racisme et de l'abus de pouvoir </strong>dans la société de Los Angeles, en suivant plusieurs personnages. Ceux-ci n'ont rien en commun, et pourtant leurs peurs, leurs haines, leurs positions sociales vont les rattrapper... faire monter la pression... et amener chacun à un dénouement plus ou moins tragique.</p> <p>Un film à voir absolument. </p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-63004601336442312792005-09-07T13:52:00.000+00:002006-11-12T15:43:04.358+00:00Broken flowers<p style="padding: 2px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/broken-flowers.jpg" alt="" height="160" width="120" /></p> <p>Date de sortie : 07 Septembre 2005<br />Réalisé par <strong>Jim Jarmusch</strong><br />Avec Bill Murray, Jeffrey Wright, Sharon Stone<br />Film américain. Genre : Comédie<br />Durée : 1h 45min. Année de production : 2004</p> <p>Don Johnston, tel un Don Juan moderne américain, est un célibataire endurci qui a collectionné toute sa vie durant des conquêtes féminines, sans jamais construire de foyer avec l'une d'elles. Ses succès professionnels passés lui permettent de vivre confortablement sans plus aucun effort, et sa vie telle que montrée à l'écran semble maintenant d'un vide intersidéral. Heureusement pour lui, il a pour amis ses charmants voisins, qui ont une ribambelle d'enfants et ont la particularité d'être vivants - eux.</p> <p>Quand sa dernière conquête le quitte, il retomberait aisément dans sa vie monotone, s'il ne recevait pas une mystérieuse lettre anonyme. Une de ses ex lui annonce l'existence d'un fils de 19 ans, qui serait parti à sa recherche. Don - dans son habituelle langueur - serait tenté de la classer sans suite, mais son charmant voisin a un penchant pour les histoires policières et le pousse à mener l'enquête. Et voilà Don embarqué dans une étrange série de visites inopinées aux mères potentielles, à la recherche du moindre indice. A travers ce périple, la quête de Don se double d'une étrange photo de toutes les couches sociales américaines.</p> <p>Comme Lost In Translation, ce film nous traîne à la suite du personnage principal et nous perd en même temps que lui. Ni Don ni le spectateur n'aura de réponse à ses questions... c'est avant tout un instantané à consommer dans une ambiance très feutrée, limite déprimante. Ou comment ressortir d'une scéance avec un moral mi-figue mi-raisin... </p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-4255382491465553875.post-42248262510385982832005-08-18T13:52:00.000+00:002006-11-12T15:43:38.404+00:00H2G2 : le guide du voyageur galactique<p style="padding: 2px; float: left;"><img src="http://idata.over-blog.com/0/04/56/62/films/h2g2.jpg" alt="" height="160" width="120" /></p> <pdate t="" sortie="" de=""></pdate> Réalisé par <strong>Garth Jennings</strong><br />Avec Martin Freeman, Mos Def, Sam Rockwell<br />Film américain. Genre : Science fiction, Comédie<br />Durée : 1h 48min. Année de production : 2004<br />Titre original : <em>The Hitchhiker's Guide to the Galaxy</em> <p> </p> <p> La bande annonce était prometteuse, mais autant le dire tout de suite, le film ne tient pas ses promesses... Certes, avantagé par un humour <em>so british</em> et décallé, ses clins d'oeils comme une lutte contre l'administration bête et méchante (aussi bien terrienne que spaciale), absolument pas mis en danger par son petit côté "effets spéciaux faits-maison",... c'est par le rythme et le manque de punch des blagues que l'ensemble pèche. S'ennuyer dans un tel film décallé comme celui-là n'est pas ce qu'on y attend !</p> <p>Du coup, je vous livre tel quel le résumé d'AlloCiné : "Sale journée pour le Terrien Arthur Dent. Sa maison est sur le point d'être rasée par un bulldozer, il découvre que son meilleur ami, Ford Prefect, est un extraterrestre et pour couronner le tout, la Terre va être pulvérisée dans quelques minutes pour faire de la place à une voie express hyperspatiale. Arthur a une chance de survivre, mais il doit pour cela se faire prendre en stop par un vaisseau spatial, avec l'aide de Ford. Sa plus grande aventure va commencer au moment où notre propre monde disparaît... Arthur se jette dans l'inconnu et entame un délirant périple au cours duquel il va découvrir la véritable nature de l'univers."</p> <p>Dommage... le sujet était prometteur. </p>F.http://www.blogger.com/profile/17103711808568098877noreply@blogger.com0